Jean-Jacques  L'ANTHOËN

Jean-Jacques L'Anthoën Après des études d’orgue, Jean-Jacques L’Anthoën se tourne vers le chant. À 18 ans, il entre au conservatoire de Rennes, où il travaille avec Martine Surais. Quatre ans plus tard, il entre au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (CNSMDP). Au sein de cette institution, il suit les conseils d’Élène Golgevit, Pierre Mervant, Susan Manoff, Jeff Cohen, Anne Le Bozec et Stephan Genz. Durant ces cinq années d’études, il y chante les rôles de Podesta dans La Finta Giadiniera de Mozart (mars 2012), le Poète dans l’opéra Reigen de Philippe Boesmans (février 2013), Bénédict dans Béatrice et Bénédict de Berlioz (février 2014).

Parallèlement à ses études, Jean-Jacques L’Anthoën est invité par différentes structures : aux Chorégies d’Orange, lors de la soirée « Tous à l’Opéra ! » organisée par les opéras de France (mai 2013) ; dans le cadre de l’Académie (2013) du Festival international d’art lyrique d’Aix-en-Provence, où il chante le rôle du mari dans les Mamelles de Tirésias de Poulenc – également repris au Théâtre de la Monnaie à Bruxelles (janvier 2014) ; à l’Opéra de Nantes-Angers, où il se produit dans le rôle du premier commissaire dans Dialogues des Carmélites de Francis Poulenc (septembre 2013) ; avec l’Orchestre national Bordeaux-Aquitaine, à l’Opéra national de Bordeaux, où il chante dans le ballet Pulcinella de Stravinsky (décembre 2014).

Sa longue tessiture lui permet d’aborder des rôles de baryton ou de ténor grave. Depuis peu, Jean-Jacques l’Anthoën s’attache aussi au répertoire du lied et de la mélodie, en duo avec Adam Laloum, jeune pianiste déjà très reconnu. Ils se sont produits au CNSM de Paris, au Festival international de musique de Salon-de-Provence « Musique à l’Emperi » (août 2014) et au tout nouveau festival de musique de chambre « Les Pages Musicales de Lagrasse » (septembre 2015).

Jean-Jacques L’Anthoën se produira également à l’Opéra-Comique et au Théâtre imperial de Compiègne, dans les Fantômes du Comique de Marc-Olivier Dupin.